Je suis "tombée" cet été sur un livre sorti en novembre 2009 : "Remember The time" de Theresa Gonsalves.
C’est une fan ayant rencontré Michael en 1977 à New York lorsqu’il partageait son appartement avec sa sœur Latoya, et a décidé en novembre 2009 de raconter son histoire dans un livre.
Elle a déjà été présente dans de nombreux reportages et livres sur MJ et considérée comme une simple fan par certains, une groupie par d’autres, une petite-amie parfois.
Elle a déjà été interviewée de nombreuses fois dans Star Magazine. Elle serait la fameuse Billie Jean.
Elle a donné une inteview en 2012 concernant ce livre et d'autres livres qu'elle a écrit (elle est devenue auteur) : : https://mjjjl.wordpr...resa-gonsalves/
Elle voulait raconter sa propre version sans que ce soit déformé par un journaliste, ceci en une série de lettres adressées à Michael dans l’au-delà. J’ai trouvé ce livre très touchant. Il est dédicacé à Michael et Katherine et a été lu par quasi tous les membres de sa famille.
Je l’ai traduit (Seulement la 2ème version….car il y a en a eu une 1ère quasi-identique mais à la demande de Katherine, quelques passages ont été atténués…et on comprends pourquoi^^)
(Si vous êtes intéressés par la trad complète, envoyez-moi un MP )
Voici le lien vers le blog de Theresa : (à la fin, les passages de la 1ère version) : http://mjandtheresag...es.blogspot.fr/
Voici quelques extraits :
1er extrait : Cher Michael,
On était si jeune…lol, et si je dis, "et innocents" je vais commencer à chanter la chanson (sourire).
Ce fut une surprise pour ta sœur Latoya, à chaque fois que tu m’invitais dans ton appartement. D’abord je n’ai pas compris son hésitation lors qu’elle me répondait aussi souvent après Las Vegas. J’avais amené mon amie Lorraine une fois.
J’ai trouvé ça mignon que tu m’aies fait quelques cookies et ouvert la porte, souriant et portant l’assiette de cookies dans ta main. "J’ai fait quelques cookies ! Goût chocolat !", as-tu dit en souriant. Tu étais si fier de les avoir faits tout seul. On avait presque vingt ans. Tu n’avais jamais fait de cookies avant ?
Quand je t’ai regardé, on est parti à rire car ça a ramené des souvenirs de quand tu étais gamin et que tu disais "Je t’ai donné mes cookies" avant de chanter Who’s loving You ! Ce fut le début d’une soirée d’hilarité.
À partir de ce moment, presque tout était drôle ce soir-là, à l’exception d’une conversation sur les abus d’enfants. Ouais, Tu m’as fait des cookies et je t’ai apporté un livre. "Somewhere a Child is Crying".
Les gens ne comprennent pas vraiment que même quand on est jeune, on a ce désir de sauver les enfants du monde. On a parlé pendant des heures d’abus d’enfants et raconté des histoires horribles sur ce qu’on avait lu ou entendu, sur des enfants brûlés par leurs parents, ou d’autres abusés de manière choquante.
Pendant qu’on parlait de cela, le gardien nous a bipés et dit qu’il avait deux fans pour te rencontrer et qui sont venues tous les jours. Ta frustration était visible quand tu m’as dit : "Ces filles mes suivent partout où je vais. J’ai demandé si je pouvais venir avec toi sur le tournage de The Wiz, ils m’ont dit non, mais je me retourne et le je les vois elles là bas. Diana Ross leur a hurlé dessus. Elle leur a dit…Laissez-le tranquille ! Vous ne voyez pas qu’il est occupé ?" Tu rigolais en imitant la voix la Diana Ross, mais ton agacement était visible.
J’ai donc proposé… "Laisse-les venir Michael. Peut-être qu’après t’avoir rencontré ce ne sera pas si dur…. ". Ce n’était pas ton genre mais tu avais décidé de me faire plaisir.
Tu te souviens de ce qu’il s’est passé ? Nos débilités ont pris le dessus quand elles sont entrées dans la pièce. On est revenus à nos conversations sur les abus d’enfants et lorsqu’une des filles a commencé à raconter cette histoire incroyable qu’elle avait l’air d’avoir inventée, tu t’es assis là à faire des grimaces. Elles ne pouvaient pas te voir. On a carrément éclaté de rire au milieu de son histoire et elle s’est arrêtée énervée : "Je ne sais pas pourquoi tous les deux vous trouvez ça si drôle…. ". On n’était pas sympas Michael, et durs, mais on ne pouvait pas s’empêcher ce jour là ! Ou peut être c’était les nerfs ?
Tu as proposé qu’on prenne des photos. Et tu as continué encore avec tes crétineries et seulement toi et moi prenions les photos lorsque l'une des filles a dit : "Vous vous croyez où tous les deux ? Photoland ou quoi ? "….ce qui a renforcé notre hystérie. On s’est regardés l’un et l’autre et on a encore éclaté de rire ! On ne pouvait plus s’arrêter.
Quand je commence à être triste que tu sois parti, je vais sur YouTube et regarde la vidéo de toi faisant une interview au Japon quand tu ne peux plus t’arrêter de rire. Cela m’envahit de souvenirs de ce jour-là et emporte la douleur de ta mort. Les rires, ça aide vraiment à guérir.
Ouah…..T’es vraiment parti.
2ème extrait : Cher Michael,
Après ma première visite à New York, on a passé des heures au téléphone tard le soir pendant quelques jours et ensuite tu m’as invitée de nouveau. C’était en Novembre ou en Décembre. Je savais qu’il faisait froid. Le premier jour de mon arrivée, je t’ai à peine vu car tu travaillais tellement sur le tournage de The Wiz.
La seconde matinée après que tu sois parti travailler, Latoya a gentiment cédé et m’a laissée rester à l’appartement avec elle. Elle était énervée que tu n’écoutes rien de ses consignes. Tu la contrariais vraiment comme tout frère normal le ferait. Tu sais, ça la faisait flipper grave quand tu t’amusais à te suspendre de ce fichu balcon. J’aurais eu peur aussi. Je suis contente que tu n’aies pas fait ça devant moi.
Alors que je passais la journée avec Latoya, j’ai pu comprendre pourquoi elle était si déçue que tu m‘aie invitée. Elle était en train d’aider Stéphanie Mills à se caser avec toi. Je ne crois pas que Latoya savait que j’écoutais ton tête-à-tête avec Stephanie quand elle a dit à Stephanie de t’acheter un livre.
Apparemment, Stephanie voulait t’acheter un cadeau et avait demandé à Latoya ce qu’elle devait te prendre. J’ai ri intérieurement car j’avais déjà fait ça. Je savais déjà ce que tu aimais. Je n’avais pas eu besoin d’avoir cette information de ta sœur !
J’avais aussi entendu Latoya dire à Jermaine qu’elle ne voulait pas sortir avec Bobby DeBarge. Elle m’a en fait dit après avoir raccroché, que Jermaine voulait qu’elle flirte avec Bobby et qu’elle me le disait uniquement parce que j’étais assise là et que j’avais entendu la conversation. J’étais si curieuse.
Elle disait que Jermaine avait fondé le groupe Switch, que Bobby en faisait partie et qu’il voulait qu’elle soit sympa avec lui. Hum, Je pouvais interpréter ça de plein de façons différentes. Mais je regarde toujours les choses innocemment. Elle m’a demandé de le dire à personne. J’étais obligée…enfin jusqu’à maintenant, car voilà que je te le dis. Donc ne lui dis pas que je te l’ai dit d’accord (sourire) ?
3ème extrait : Cher Michael,
Et bien, ce qui se s’est passé ce jeudi est une série d’événements qui sans raison. Ton père était le problème. C’est drôle ou peut être devrais-je dire triste, lorsque tu regardes ça avec le recul et réalises que ce fut le moment fatal pour nous.
Quand je suis arrivée au portail ce jeudi soir, après un long trajet en bus de Long Beach à Encino, je fus assez ennuyée que personne ne vienne répondre et il n’y avait aucune lumière dans la maison.
J’ai attendu bêtement pendant plus d’une heure, mais surtout parce que les bus avaient cessé leur tournée et je ne savais pas comment j’allais rentrer à long Beach.
J’’étais au bord de l’impatience quand soudain, une limousine est arrivée et Randy est sorti. Il a attrapé mon bras et a dit : "Viens, monte. Michael a dit de te donner de l’argent si tu étais encore là pour redescendre la rue au Travel Lodge le revenir le matin. Il est désolé. Joseph l’a forcé à faire ça car il n’avait pas envie." Il m’a donné du liquide dans la main.
C’était si précipité, alors que, Randy et Janet sortaient de la voiture et couraient vers la maison. Je suis montée dans la voiture et fus conduite au Travel Lodge.
Alors que je dormais au Travel Lodge ce soir là, je me demandais curieusement, pourquoi tu voulais alors que je reste en Californie.
Qui aurait pu penser que tout cela se passait pendant que tu travaillais sur un de tes meilleurs travaux en termes de vente !
Ouah…bon quand je suis revenue le lendemain matin, hmm, à onze heures environ, Joseph était dans l’allée à laver sa voiture ! Pas sûre qu’il m’ait vue, mais j’ai sonné quand même. Pas de réponse, donc j’ai sonné encore bien sûr et commençais à m’agiter. Tu étais celui qui m’avait dit vouloir me parler plutôt que de partir ! Tu m’avais dit de revenir le matin !
Ta maman est rentrée dans l’allée avec sa Mercedes Benz marron (Ont-ils utilisé la vraie dans le film American Dream, car elle semblait identique ?) et elle a dit : "Michael voulait que je te dise qu’il était désolé. Il essaiera d’être là dans tout à l’heure."
"D’accord mais je crois que Michael a besoin de s’excuser lui-même". J’étais catégorique sur le fait que tu doives faire ça.
"Je suis d’accord" a-t-elle dit puis est repartie.
Après quelques minutes, j’ai sonné encore.
Joseph ouvrit finalement le portail et me demanda de venir le long de l’allée qui menait jusqu’à la maison. Cela, seulement après que quelqu’un dans la maison, peut être toi, lui ait parlé de moi. Il ne m’a pas laissée aller plus loin que sa voiture. Au lieu de cela, il m’a dit que tu ne pouvais pas me voir. Et bien, pour certaines raisons, il ne m’a pas fait peur. Ce n’était pas mon satané père. Oh, il avait l’air assez intimidant et curieux après tout le temps que j’avais passé avec toi par le passé, je ne lavais jamais rencontré avant. Toi et moi étions adultes. Ou du moins je le pensais.
Et après tout Michael, nous avions fait l’amour ensemble, donc peu importe ce que quiconque disait, cela me m’importait pas à moins que cela vienne de toi.
Quand il a dit que tu ne pouvais pas me voir, j’ai répondu possessivement : "Et bien, vous dites à Michael de me dire qu’il ne me verra pas. C’est un homme maintenant. Pourquoi ne le laissez-vous pas tranquille et laissez Michael être Michael ?"
Uhhh….Cela l'a certainement provoqué ! Souviens-toi, et je dis souviens toi car toi et Latoya regardaient la scène à travers les caméras de sécurité…il m’a attrapée par le bras et a hurlé : "Juste parce que tu passes un peu de temps avec lui à New York et juste parce qu’il t’a sortie pour dîner et aller voir des films de temps en temps ne signifie pas que tu es sa petite amie !" Je lui ai crié dessus en retour, essayant de me libérer de son emprise.
Et ensuite ton méchant satané père m’a empoignée et poussée dehors. Oui, j’ai su qu’il était définitivement temps pour moi de partir.
Je n’ai pas pleuré, mais je voulais. Je te défendais. J’étais vraiment en colère contre toi à ce moment là. Pourquoi n’es-tu pas venu pour me défendre ? Je pensais que tu t’étais libéré de ses griffes. J’imagine que tu avais vraiment peur de Joseph. Tu commençais à te libérer de ses griffes mais tu n’avais pas encore tout à fait terminé.
J’ai marché lentement à travers Ventura et quand je suis arrivée au coin de Hayvenhurst, j’ai tourné et t’ai vu toi et Latoya me passer devant avec sa Mercedes Benz convertible jaune. Elle avait le toit ouvert. Alors que j’ai vu, tu ne m’as pas vue. Je savais que tu me cherchais.
4ème extrait : Cher Michael,
Réalise-tu combien on a roulé dans cette sacré voiture ? (Je ris là car je déteste réellement monter avec toi quand tu conduis).
J’étais vulnérable, mais tu étais encore là et tu conduisais toujours dans Encino le soir. Je venais juste d’avoir une voiture toute neuve et conduisais aussi. Je me sentais seule. Où nous-sommes nous rencontrés à ce moment là ? Ah oui, Genesta Park.
Le destin, encore une fois, intervenait pour nous. Il était vraiment tard et quand je suis sortie dans le parc – tu y étais assis. Je ne te cherchais pas vraiment. Ou peut être inconsciemment. On ne s’était pas rencontrés dans le parc depuis très très longtemps. Je voulais juste aller là bas et réfléchir.
Tu étais surpris de me voir là bas. On a discuté quelques minutes et ensuite on a continué là où on s’était arrêtés et tu m’as demandé si je voulais faire un tour. C’était notre habitude, même si ça faisait longtemps.
"Bien sûr." Vraiment maintenant, que pouvais-je dire d’autre Michael ? Tu as encore pris les petites routes, mais cette fois en haut de Mulholland. Ouais ! Tu conduisais toujours de manière sporadique, comme un fou. Après ça, j’ai juré de plus jamais monter en voiture avec toi, particulièrement après que tu aies enlevé tes mains de ce maudit volant et dit : "Parfois j’aimerais être Peter Pan et pouvoir voler… "….euh, Michael, tu as fais ça sur Mulholand Drive….les routes sinueuses, les intempéries…euh.
"Hé, pas avec moi dans cette voiture, ne fais pas ça. Mets tes mains sur le volant !" ai-je hurlé. Essayais-tu de me terroriser Michael ?
"Je m’amusais, tu n’étais en aucun cas en danger… " essayais-tu de me rassurer en rigolant.
J’avais été sur une moto auparavant avec quelqu’un conduisant comme un maniaque sur ces routes. J’avais très peur de Mulholland Drive.
Je ne sais pas ce qui est arrivé à 198VZG (c’est comme ça que nous appelions, ta Roll Royce Silver Shadow marron et noire – d‘après sa plaque d’immatriculation), mais tu conduisais une Landrover noire ou quelque chose comme à ce soir là. Au moins je peux repenser à ce moment et en rire maintenant…je ne riais pas alors monsieur.
Tu as tourné à un endroit découvert et isolé. Mulholland est connu pour ces coins. Du moins ça avait été le cas, je n’y avais pas été depuis des années.
J’aime toujours aller là bas et juste réfléchir… " m’as-tu dit alors que tu t’allongeais sur le dossier et j'ai fait de même. On était assis en silence pendant quelques minutes. J’ai fermé les yeux mais je pouvais voir que tu me regardais.
Je sais qu’à cette époque, j’avais développé mon côté sexy. J’étais trop fine à mon goût, car je pouvais voir les os à travers ma poitrine….parfait pour le monde, mais je n’aimais pas ça. J’essayais d’impressionner ce gars dont j’ai mentionné plus tôt et essayais de le récupérer.
"Où es ton fils ?" me demanda-tu.
"Il est avec son père" t’ai-je informé, "il ne chante plus cette chanson…cet enfant est son fichu fils !" ai-je remarqué sarcastiquement.
Tu as ri. Nous avons parlé des choses arrivées dans nos vies. Ou plutôt, tu étais plus intéressé par ce qui se passait dans la mienne. Je t’ai parlé de Vincent, mon obsession. Tu m’as dit que je ne devrais pas être avec lui et ne plus le laisser me blesser et d’arrêter de faire les choses folles que je faisais. Tu as trouvé, néanmoins, l’histoire entre moi et Vincent assez amusante.
As-tu remarqué que j’étais à peine habillée ? Une mignonne petite robe d’été, pas de soutien gorge, des faux-cheveux, mais ça semblait assez vrai. Oh combien différente de notre première rencontre…tu étais beau, toujours mince. Tu avais commencé à changer et c’était évident que tu avais fait refaire des choses mais j’aimais bien à ce moment là. Ta peau n’avait pas beaucoup changé, juste un peu plus claire. Je me souviens qu’à un moment nous avions presque la même nuance de brun. Tu avais un pantalon rouge et un T-shirt blanc.
Devrais-je parler de ça avec toi au paradis ? Et bien, nous sommes tous nés imparfaits, et nous avons péché plusieurs fois le long de nos routes.
[...]
J’ai senti le besoin de te serrer, pas sûre de ce que tu pensais, mais je l’ai fait, j’ai posé ma tête sur ton torse pendant quelques minutes.
Quand je fus sur le point de bouger, tu m’as tenue fermement et m’a embrassée, me prenant complètement au dépourvu. Après tout ce temps passé ensemble, depuis cette première fois, y-avait-il eu vraiment de l’intimité entre nous autre que des baiser volés ici et là. Là, j’étais rapide à répondre.
Cette fois nos baisers vinrent avec urgence, comme si nous essayions de récupérer les moments innocents passés ensemble. Chacun de nous deux semblait avoir la forte envie de simplement être touché. On était plus si gamins cette fois-ci alors que nos baisers tournèrent vers un incontrôlable désir. J'ai courageusement défait ton pantalon te laissant l’enlever. Tu ne semblais plus si innocent désormais et j’avais définitivement appris à être la mauvaise fille que j’avais essayé, non sans effort, de devenir. J’appellerais cela un moment d’égarement irréfléchi alors que nous tâtonnions à intérieur du véhicule, attrapés encore une fois. Nous voilà à faire l’amour comme si l’on était au lycée. Imagine le cirque des médias si une voiture de police était passée !
Je suis restée au dessus après. Tu as passé ta main dans mes cheveux. On s’est reposés confortablement jusqu’à ce que mes jambes commencent à raidir puis on a bougé afin de nous ressaisir et de remettre nos vêtements.
Tu voulais rester là bas plus longtemps, ce que l’on a fait. Je n’étais pas pressée. Si tu ne le savais pas, j’étais juste heureuse d’être assise là avec toi. Je sais que c’était un des seuls moments où tu pouvais être simplement ‘Michael.’
Lorsque tu m’as ramenée à ma voiture, nous avons souri tous les deux. Je me suis penchée et t’ai embrassé. Comme le gentleman que tu étais, tu as attendu que j’arrive à ma voiture et me m’a regardée partir en premier. Il n’y eu aucune promesse que je te reverrais un jour. Nous n’avons jamais refait ça. Je savais que l’on se retrouverait toujours le long du chemin, même si ce n’était que pour un sourire.
Je n’ai jamais voulu te laisser tomber Michael.